Près d’une porte où luit du sang, sur les battants,
Mon cœur, là-bas, est haletant ;
Près d’une porte, en des sous-sols, voisins de havres,
Mon cœur surveille au loin de terribles cadavres.
Ce sont des morts qu’on y apporte,
À bras d’...
Ce sont des morts qu’on y apporte, |
Laissons au gré des flots dériver le navire, Qu’il... |
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Partout, de loin en loin, de proche en proche,
Et pour les morts et les saints, L’heure est triste : les champs,... |
Mais l’heure sonne |
Je le dis tout à trac, je considère comme |
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Vous demandez, amis, comment s’est échappée À cette heure sacrée, heure où la nuit commence, |
Comme enfermés et secoués
En un sac invisible, L’après-midi finit : l’air est vermeil. |
Mon cœur? — Il est tombé dans le puits de la mort. — Le silence est effrayant — Comme un morceau de gel |