L'âme de moi, sous cette chair enclose,
En nul vivant ores plus ne se fie :
Car elle estime, honore et magnifie
Le Seigneur Dieu par-dessus toute chose.
Et mon esprit, pour la bonne assurance
De voir la fin d'ennuyeuse tristesse,
Se réjouit et fonde sa...
|
A Hélias Boniface, d'Avignon. |
Loisir et liberté |
Un jour de may, que l'aube retournee |
Les aveugles et violeurs |
A Claude Bectone, Dauphinoise. |
Au lecteur des 'Nouvelles récréations et joyeux devis'. |