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    I

    Pour fuir l’ennui que son départ me laisse,
    Pendant le jour, je m’en vais au travers
    Des bois, cherchant les abris bien couverts.
    Comme deux chiens qu’on a couplés en laisse,
    Deux papillons courent les taillis verts.
    Lors, je m’étends dans l’herbe caressante.
    Les moucherons, les faucheux, les fourmis
    Passent sur moi, sans que mon...