Le long du quai les grands vaisseaux,
Que la houle incline en silence,
Ne prennent pas garde aux berceaux
Que la main des femmes balance.
Mais viendra le jour des adieux ;
Car il faut que les femmes pleurent...
Mais viendra le jour des adieux ; |
Puis joyeux, rajustant ses printaniers atours, |
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Les fleurs n’ont pas d’haleine ; un souffle errant qui passe |
Des plus parfaits... |
Terres sans nombre, étoiles et soleils, |
Et les prisons dans leurs murailles |
A son ombre pareil, l’homme n’est ici-bas |
Pascal sombre et pieux me rend pusillanime, |
Je viens apprendre à tous que nul n’est solitaire, |