Moi qui rêve toujours, moi qui n’ai jamais ri,
Je ne puis résister à l’amour qui m’obsède ;
Il faut que j’ouvre enfin mon cœur et que je cède,
Et que j’offre aux baisers mon profil amaigri.
L’étude dont mon rêve idéal s’est nourri
Dans le drame des jours n’est qu’un triste intermède ;
Dans l’amour, l’amour seul, qui puisse être un remède,
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