• Çûrya fait resplendir et fumer les rivages.
    Avec les jeunes paons et les chèvres sauvages,
    Se joue au bord de l’eau Kriçhna, l’enfant divin.

    Là-bas, roulant son ombre aux pentes du ravin,
    Dans une brume vague où l’aspect se déforme,
    L’escarpement confus d’une montagne énorme
    Porte le Bhandîra qui semble une forêt ;
    Et le mont si hautain se dresse qu’...