• Moi, qui l’avais vu si petit,
    Je fus tout chagrin de sa perte,
    Et cette pauvre masse inerte
    Ne m’inspira nul appétit.

    Lorsque chacun se divertit
    Et festoya dans l’herbe verte,
    Moi, qui l’avais vu si petit,
    Je fus tout chagrin de sa perte.

    Mais la porchère compatit
    À son sort, dans la cour déserte,
    Car, en voyant sa bête ouverte,...