• Au citoyen Élie MAY.

    Le peuple sent qu’il est trahi,
    C’est trop aboyer à la lune.
    L’Hôtel de Ville est envahi,
    Paris, proclame ta Commune !

    A-t-on pris à Sainte-Périne
    Tous ces dictateurs impotents ?
    Leur ton dolent, leur voix chagrine,
    Déconcertent les combattants.
    On les voit, quand la France expire,
    Reboucler...

  • Rimeur charmant, plein de raison,
    philosophe entouré des grâces,
    épicure, avec Apollon,
    s’empresse à marcher sur vos traces.
    Je renonce au fatras obscur
    du grand rêveur de l’oratoire,
    qui croit parler de l’esprit pur,
    ou qui veut nous le faire accroire,
    nous disant qu’on peut, à coup sûr,
    entretenir Dieu dans sa gloire.
    Ma raison n’a...