• A M. et Mme C.P***

    O mes chers vieux amis, à l'époque trop brève,
    Et pour moi disparue, hélas ! depuis longtemps,
    Où l'on voit devant soi l'avenir qui se lève
    Comme un soleil joyeux sur l'azur du printemps ;

    Quand j'étais jeune, enfin, j'avais fait ce doux rêve
    D'une existence entière - oui, de tous les instants -
    Aube sans lendemain qui...