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    Les vents sont accourus : leur troupe déchaînée
    Déjà vers son déclin précipite l’année.
    Déjà n’offrant par-tout qu’un aride coup-d’oeil,
    L’automne se dépouille ; et la forêt en deuil,
    Impuissante à garder un reste de verdure,
    Sent mourir tous ses sucs liés par la froidure.
    Le ciel même est changé. L’aurore au front vermeil
    Se cache : elle s’...