• Ici gît, Étranger, la verte sauterelle
    Que durant deux saisons nourrit la jeune Hellé,
    Et dont l'aile vibrant sous le pied dentelé
    Bruissait dans le pin, le cytise ou l'airelle.

    Elle s'est tue, hélas ! la lyre naturelle,
    La muse des guérets, des sillons et du blé ;
    De peur que son léger sommeil ne soit troublé,
    Ah ! passe vite, ami, ne pèse point sur...