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    Glissant sous sa voilure blanche,
    Comme un cygne qui fend les airs,
    Mon esquif léger qui se penche,
    Ride l’azur mouvant des mers.

    Sa voile s'élève et s'abaisse
    Au souffle naissant des zéphirs
    Comme un sein ému qui s'affaisse
    Sous de voluptueux soupirs.

    Que j'aime à regarder cette onde
    Qui passe auprès de mon bateau,
    À voir...