Dans ta haute demeure
Dont l’air est étouffant,
De l’accent dont on pleure
Tu chantes, douce enfant.
Tu chantes, jeune fille.
Ton père, c’est le roi.
Autour de toi tout brille,
Mais tout soupire en toi.
Pense, mais sans rien dire ;
Aimer t’est défendu ;
Doux être, ton sourire
En naissant s’est perdu.
Tu te sens...