DERNIERS VERS DE NOURRIT

Le cygne, lorsqu’il sent venir l’heure suprême,
                En chants mélodieux
À la blonde lumiêre, au beau fleuve qu’il aime,...

 

I

Souffle, bise ! tombe à flots, pluie !
Dans mon palais, tout noir de suie,
Je ris de la pluie et du vent ;
En attendant que l’hiver fuie,
Je reste au coin du feu, rêvant.

C’est moi qui suis l’esprit de l’âtre !
Le gaz, de sa langue bleuâtre...