Le printemps, couronné de folles marjolaines,
Sur la pointe des monts a mis son pied léger ;
Une flûte à la main, comme un jeune berger,
Du pays de l’azur il descend vers les plaines.
Quelque musique flotte à l’horizon lointain,
Pareille à l’oiseau bleu qui jamais ne se pose,
Et la colline d’or se perd dans le ciel...