• Si tu meurs en jeunesse, autant as tu gousté
    D'amour, et de douceur durant ce peu d'espace,
    Que si de deus cens ans tu par-faisois la trace,
    Nul plaisir est nouveau sous le ciel revouté :

    Pour boire plusieurs fois le ventre degousté
    N'en est de rien plus soul, la corruptible masse
    De ce cors que tu traine, est semblable à la tasse
    Qui ne retient...