Seras-tu de l'amour l'éternelle pâture ?
A quoi te sert la volonté,
Si ce n'est point, ô coeur, pour vaincre ta torture,
Et dans la paix enfin, plus fort que la nature,
T'asseoir sur le désir dompté,

Ainsi qu'un bestiaire, après la lutte, règne
Sur son tigre...