Des saisons la plus désirée
Et la plus rapide, ô printemps,
Qu’elle m’est longue, ta durée !
Tu possèdes mon adorée,
Et je l’attends !
Ton azur ne me sourit guère,
C’est en hiver que je la vois ;
Et cette douceur éphémère,
Je ne l’...
Ton azur ne me sourit guère, |
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Une heure de soleil fait bénir tout le jour, |
Un ciel rose envahit mon être et ma demeure, |
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Ils rêvent, étendus sans mouvement, sans voix ; |
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Alors, épouvantés des songes de l’ouïe, |
Le premier homme est né, mais il est solitaire. |