Eh quoi ! votre printemps sourit à mon automne,
Y pensez-vous, jeune beauté !
J’ai l’âge où les ardeurs ont besoin d’une tonne ;
Il faut à boire à ma gaîté.
Coupe en main, vous plaît-il de me...
Eh quoi ! votre printemps sourit à mon automne,
Y pensez-vous, jeune beauté !
J’ai l’âge où les ardeurs ont besoin d’une tonne ;
Il faut à boire à ma gaîté.
Coupe en main, vous plaît-il de me...
Pour que je t’aime, ô mon poëte,
Ne fais pas fuir par trop d’ardeur
Mon amour, colombe inquiète,
Au ciel rose de la pudeur.
L’oiseau qui marche dans l’allée
S’effraye et part au moindre bruit ;
Ma passion est chose ailée
Et s’envole quand on la suit.
Muet comme l’Hermès de marbre,
Sous la charmille pose-toi ;
Tu verras bientôt de...
Pour que je t'aime, ô mon poëte,
Ne fais pas fuir par trop d'ardeur
Mon amour, colombe inquiète,
Au ciel rose de la pudeur.
L'oiseau qui marche dans l'allée
S'effraye et part au moindre bruit ;
Ma passion est chose ailée
Et s'envole quand on la suit.
Muet comme l'Hermès de marbre,
Sous la charmille pose-toi ;
Tu verras...