• Arbres qui lamentez la cruelle infortune
    De ce pauvre garçon, qui trop audacieux,
    Dans le tour recourbé du grand plancher des cieux
    Osa pousser le char du frère de la Lune,

    Plus ne pleurez sa mort, plus grande est ma fortune,
    Mais sourcez avec moi un fleuve de vos yeux.
    J'ai comme lui, chétif, visité les hauts lieux,
    Et en bas comme lui je ressens la...