• Quand vous coulant au bas de vos lits d'accouchées
    Après les affres du premier enfantement
    Vous vous dressez enfin, vous sentant allégées
    Comme un arbre où saignait un fruit mûr, lourdement ;

    Que dans votre miroir, Mères, Eves maudites,
    Votre ombre frêle et pâle encore du danger
    Vous fait prendre en horreur nos enfances, proscrites
    D'un geste, et...