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    De leurs cercles bruyants où tout est faux et vide
    Quand j’ai, silencieux, longtemps subi le poids,
    Esprit malade, esprit de solitude avide,
    Comme un oiseau blessé, je m’enfuis vers les bois.

    Là, tout est doux et grand, rien n’irrite et ne pèse ;
    Je m’abreuve de calme et de recueillement.
    Les bois me sont amis ! leur charme qui m’apaise
    Endort...