• Loisir, où donc es-tu ? le matin, je t’implore ;
    Le jour, ton charme absent me trouble et me dévore ;
        Le soir vient, tu n’es pas venu ;
    La nuit, j’espère enfin veiller à ta lumière ;
    Mais déjà le sommeil a fermé ma paupière,
        Avant que mes yeux t’aient connu.

    Loisir, es-tu couché sur quelque aimable rive,
    Au bord d’un antre frais,...