Les pâles amoureux cherchent les frais avrils,
Le lent vieillard s’attarde aux douceurs de l’automne ;
Juillet, lourd aux faucheurs, mois grave où le ciel tonne,
Mois des blés d’or, c’est toi qu’aiment les cœurs virils !
Car la terre, oubliant les rêves puérils
De sa virginité qu’un bruit de source étonne,
Ne connaît pas encor ce sanglot monotone
Que...