Maître Christian Loftel n’a d’état que celui
De faire des cercueils pour les mortels ses frères,
Au fond d’une boutique aux placards funéraires
Où depuis quarante ans le jour à peine a lui.
À cause de son air étrange, nul vers lui
Ne vient : il a le froid des urnes Cinéraires.
Parfois, quelque homme en deuil discute des parères
Et retourne,...