O pauvre oiseau blessé, mis à mort par la vie !
Cœur qui battais trop fort, cœur trop doux et trop fier,
Te voilà replié sous ton aile engourdie
Et tu ne sais plus rien des souffrances d’hier.
Quoi ! la rigidité ! Quoi ! la paix immobile !
Quoi ! le combat cessé ! Quoi ! la trêve de Dieu !
O lutteur désarmé de ta force inutile
Et qui te réservais ton...