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    Oh ! ne laissons jamais sous le doute énervant
    Notre âme s’affaisser comme le flot au vent ;
    Recevons, sans pâlir, les coups de la souffrance,
    Que le bien seulement ait notre souvenir ;
    Oublions le passé pour croire à l’avenir,
    Et buvons en marchant le vin de l’espérance !

    Si l’orage ou le vent bat notre front mortel,
    Ne craignons pas d’aller...