• Forêts solitaires et sombres,
    Je viens, dévoré de douleurs,
    Sous vos majestueuses ombres,
    Du repos qui me fuit respirer les douceurs.

    Recherchez, vains mortels, le tumulte des villes ;
    Ce qui charme vos yeux aux miens est en horreur :
    Ce silence imposant, ces lugubres asiles,
    Voilà ce qui peut plaire au trouble de mon coeur.

    Arbres,...