• Je ne suis pas celui qui s’éprend des fontaines,
    Des sables d’or, des lacs, des lueurs incertaines
    Que l’aurore répand sur les bois, — et mon cœur
    Ne s’éparpille pas dans les notes du chœur
    Qu’avec ses fleurs, ses eaux et ses firmaments chante
    La nature brutale, ironique et méchante.
    Car l’esprit n’est pas là. L’univers cache Dieu,
    Le décor ne dit rien...