• La pensée a des jours ineffablement calmes,
    Où la gloire effraierait comme un vice ; où les palmes,
    Où les bravos, où tout appareil de grandeur
    Déconcertent le goût et blessent la pudeur.
    On vit, on est content de vivre ! Les plans vastes
    Sont bien loin ! On est las de chercher des contrastes :
    Et l’on accorde au cœur trop longtemps tourmenté
    Les...