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            Le jour ne perce plus de flèches arrogantes
            Les bois émerveillés de la beauté des nuits,
            Et c’est l’heure troublée où dansent les Bacchantes
            Parmi l’accablement des rythmes alanguis.

            Leurs cheveux emmêlés pleurent le sang des vignes,
            Leurs pieds vifs sont légers comme l’aile des vents,
            Et le...