Au détour de la rue étroite
S'ouvre l'ombre et la cour
Où Diane en plâtre, et qui court
N'a que la jambe droite.
Là-bas sur sa flûte de Pan,
Un Ossalois nous lance
Ces airs aigus comme une lance
Qui percent le tympan,
Ô Faustine, et je vois se tendre
L'arc pur de ton sourcil ;
Telle une autre Diane, si
Le trait n'était si...
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Le foyer, la lueur étroite de la lampe ;
La rêverie avec le doigt contre la tempe
Et les yeux se perdant parmi les yeux aimés ;
L'heure du thé fumant et des livres fermés ;
La douceur de sentir la fin de la soirée ;
La fatigue charmante et l'attente adorée ;
De l'ombre nuptiale et de la douce nuit,
Oh ! tout cela, mon rêve attendri le poursuit
Sans...