• Si vous brillez à votre aurore,
    quand je m’éteins à mon couchant ;
    si dans votre fertile champ
    tant de fleurs s’empressent d’éclore,
    lorsque mon terrain languissant
    est dégarni des dons de Flore ;
    si votre voix jeune et sonore
    prélude d’un ton si touchant,
    quand je fredonne à peine encore
    les restes d’un lugubre chant ;
    si des graces...