Mon esprit avec embarras
poursuit des vérités arides ;
j’ai quitté les brillants appas
des muses, mes dieux et mes guides,
pour l’astrolabe et le compas
des Maupertuis et des Euclides.
Du vrai le pénible fatras
détend les cordes de ma lyre ;
Vénus ne veut plus me sourire,
les grâces détournent leurs pas.
Ma muse, les yeux pleins de...