• S’il est vrai que ce monde est pour l’homme un exil
    Où, ployant sous le faix du labeur dur & vil,
    Il expie en pleurant sa vie antérieure ;
    S’il est vrai que, dans une existence meilleure,
    Parmi les astres d’or qui roulent dans l’azur,
    Il a vécu, formé d’un élément plus pur,
    Et qu’il garde un regret de sa splendeur première ;
    Tu dois venir, enfant...