Frère, le temps n’est plus où j’écoutais mon âme
Se plaindre et soupirer comme une faible femme
Qui de sa propre voix soi-même s’attendrit,
Où par des chants de deuil ma lyre intérieure
Allait multipliant comme un écho qui pleure
Les angoisses d’un seul...
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Aimons-nous ! notre fleuve baisse ; |
Oh ! rouvrez-leur des bras de mère, |
Quand je m’assois dans ces retraites Dans ces... |
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Crois-tu donc, jeune fille aux jours d’ombre... |
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Ta nature est pourtant la même ; |