LA PEAU-ROUGE.
Itibapishi ma ! frère au pâle visage,
Ma mémoire, en tous lieux, a gardé ton image ;
J’ai senti, j’ai pleuré ton absence, en tous lieux ;
Le désert s’est ému de mes cris douloureux !
Loin des sombres cités, retrouvant la lumière,
Viens rajeunir ton âme à la source première !
Viens, dans la solitude, ô...