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            De ta robe à longs plis flottants
            Ruissellent toutes les chimères,
            Et tu m’apportes le printemps
            Dans tes mains blondes et légères.

            J’ai peur de ce frisson nacré
            De tes frêles seins, je ne touche
            Qu’en tremblant à ton corps sacré,
            J’ai peur du charme de ta bouche.

            ...