•  
    Je sais une rive sereine
    Qui, sur un frais lit de roseaux,
    S’endort au chant de la sirène,
    Et s’éveille au chant des oiseaux.
    Pays de douce nonchalance,
    Où le hamac toujours balance
    A l’ombre des verts bananiers,
    Son heureuse indolence
    Aux souffles printaniers !

    Je sais une ville rieuse,
    Aux enivrements infinis,
    Qui,...