• Le temps m'appelle : il faut finir ces vers.
    A ce penser défaillit mon courage.
    Je vous salue, ô vallons que je perds !
    Ecoutez-moi : c'est mon dernier hommage.
    Loin, loin d'ici, sur la terre égaré,
    Je vais traîner une importune vie ;
    Mais quelque part que j'habite ignoré,
    Ne craignez point qu'un ami vous oublie.
    Oui, j'aimerai ce rivage...