Non, non, je ne suis pas de ces femmes qui meurent
Et rendent ce dernier service à leurs bourreaux,
Pour qu’ils vivent en paix & sans soucis demeurent.
Vois-tu, ces dévoûments sont niais s’ils sont très-beaux.
Les hommes, je le sais, se complaisent trop vite,
Le pied sur ces cercueils, à poser en héros,
Et j’ai dégoût d’ouïr la manière hypocrite
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