• Dans les bois ténébreux de l’infernal empire
    Cœnis traîne à pas lents le poids de ses douleurs ;
    Elle passe, revient, & jamais un sourire
    De son front abattu n’anime les pâleurs.

    Vivante, elle eut l’amour du roi des eaux marines,
    Puis trahie, elle obtint de son divin amant
    La faveur d’échanger ses grâces féminines
    Contre un sexe moins doux &...