Tout ainsi que ces pommes De pourpre et d'or Qui mûrissent aux bords Où fut Sodome ;
Comme ces fruits encore Que Tantalus, Dans les sombres palus, Crache, et dévore ;
Mon coeur, si doux à prendre Entre tes mains, Ouvre-le, ce n'est...
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Sur la banquette en moleskine Du sombre corridor, Aux flonflons d'Offenbach s'endort Une blanche Arlequine.
... Zo' qui saute entre deux MMrs, Nul falzar ne dérobe Le double trésor sous sa robe Qu'ont mûri d'autres cieux.
On soupe... on sort...
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Toi, pour qui les dieux du mystère Sont restés étrangers, J'ai vu ta mâne aux pieds légers, Descendre sous la terre,
Comme en un songe où tu te vois A toi-même inconnue, Tu n'étais plus, - errante et nue, - Qu'une image sans voix ;
Et la...
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Cet huissier, qui jetait, l'été, Toute autre odeur que l'ambre, Avait le nom d'un pot de chambre Et la fétidité.
L'autre, et noir, que, sous les lanternes, On vit à ses leçons Avarier les beaux garçons, Est charognard aux Ternes.
Celui-là, qui...
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Comme les dieux gavant leur panse, Les Prétendants aussi. Télémaque en est tout ranci : Il pense à la dépense.
Neptune soupe à Djibouti, (Près de la mer salée). Pénélope s'est en allée. Tout le monde est parti.
Un poète, que nuls n'écoutent,...
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D'une amitié passionnée Vous me parlez encor, Azur, aérien décor, Montagne Pyrénée,
Où me trompa si tendrement Cette ardente ingénue Qui mentait, fût-ce toute nue, Sans rougir seulement.
Au lieu que toi, sublime enceinte, Tu es...
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Toute allégresse a son défaut Et se brise elle-même. Si vous voulez que je vous aime ; Ne riez pas trop haut.
C'est à voix basse qu'on enchante Sous la cendre d'hiver Ce coeur, pareil au feu couvert, Qui se consume et chante.
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a. Les trois princes Pou, Lou et You, Ornement de la Chine, Voyagent. Deux vont à machine, Mais You, c'est en youyou.
Il va voir l'Alboche au crin jaune Qui lui dit : " I love you. " - Elle est Française ! assure You. Mais non, royal béjaune.
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Dans Arles, où sont les Aliscams, Quand l'ombre est rouge, sous les roses, Et clair le temps,
Prends garde à la douceur des choses. Lorsque tu sens battre sans cause Ton coeur trop lourd ;
Et que se taisent les colombes : Parle tout bas, si c'est d...
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Le temps irrévocable a fui. L'heure s'achève. Mais toi, quand tu reviens, et traverses mon rêve, Tes bras sont plus frais que le jour qui se lève, Tes yeux plus clairs.
A travers le passé ma mémoire t'embrasse. Te voici. Tu descends en courant la terrasse...
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