Quand j’avais dix-huit ans je croyais que les grès
Qu’un peuple jette aux rois cimentent le progrès ;
Je croyais qu’il est beau, sur la place publique,
De crier, l’arme au poing : Vive la République !
J’aurais voulu mourir dans ma naïveté
Pour la démocratie...