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    Ô terre des aïeux ! ô sol de la patrie !
    Toi que mon cœur aimait avec idolâtrie,
    Me faudra-t-il mourir sans pouvoir te venger !
    Hélas ! oui ; pour l’exil, je pars, l’âme souffrante,
    Et, giaour errant, je vais planter ma tente
    Sous le soleil de l’étranger.

    Quand, du haut du vaisseau qui m’emportait loin d’elles,
    J’ai jeté mes regards sur tes...