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    LORSQUE je serai mort, ― puisqu’il nous faut mourir, ―
    Mon âme reviendra sur la terre souffrir
    Avec vous, que l’exil ténébreux enlinceule,
    Afin qu’en votre nuit vous ne soyez pas seule.
    J’ai trop souvent pleuré vos chagrins ici-bas,
    Pour que de l’infini je ne descende pas
    Reprendre cette grave et fidèle habitude
    D’essuyer vos beaux yeux battus...