LE charme dangereux de la mort est en toi,
Automne, on le respire en ton souffle, on le boit,
Tu fais le ciel couleur de cendre et de fumée,
Et ton ombre est si douce, ô saison bien-aimée,
Que dès qu’elle a touché, pâle encor, notre seuil,
L’âme faible s’y couche ainsi qu’en un cercueil,
Elle entend s’élever tes plaintes a nos portes
Dans le...