• L’âme ― ainsi que la terre ― a ses régions douces,
    Ses climats tempérés qu’effleure le soleil :
    Frais espoirs souriant comme un flot sur les mousses,
    Voluptés sans angoisse et bonheurs sans réveil.

    Elle a les passions de sa zone torride,
    Ses amours, épandus comme un embrasement,
    Ses âpres désespoirs, steppes au sable aride,
    Que le vent du désir brûle...