Las ! je ne verray plus ces soleils gracieux,
Qui servoient de lumiere à mon ame egarée !
Leur divine clairté s'est de moy retirée
Et me laisse esperdu, dolent et soucieux.
C'est en vain désormais, ô grand flambeau des cieux !
Que tu sors au matin de la plaine azurée,
Ma nuict dure tousjours, et la tresse dorée,
Qui sert de jour au monde est obscure...