Tu te verras ton ivoire crêper
Par l'outrageuse et tardive vieillesse.
Lors sans pouvoir en rien participer
D'aucune joie et humaine liesse,
Je n'aurai eu de ta verte jeunesse,
Que la pitié n'a su à soi ployer
Ni du travail qu'on m'a vu employer
A...
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Quand l'ennemi poursuit son adversaire |
En devisant un soir me dit ma Dame : |
Tu cours superbe, ô Rhône, florissant |
L'oisiveté des délicates plumes, |
En toi je vis, où que tu sois absente : |